18 décembre 2024 : De nouveau, beaucoup de mousse suspecte.

Nous avons transmises les photos ci dessous auprès du SAGYRC. Son directeur nous apporte les précisions suivantes :

Il peut s’agir d’une pollution humaine mais aussi d’une pollution naturelle.

Cette dernière se caractérise par la dégradation des matières organiques naturelles. On peut retrouver ces ilots de mousses prés des chutes d’eau (phénomène amplifié par l’oxygénation de l’eau). Dans les coudes de rivières où vient se déverser la décomposition des végétaux environnants.

Il convient toutefois de « banquériser » ces informations afin de distinguer à quelle pollution nous avons affaire. On peut tout autant faire le même travail sur les cours d’eau affluents (les ruisseaux du Charbonnières et du  Ratier) afin de comparer mêmes s’ils n’ont pas forcément les mêmes propriétés.

Il est important de géolocaliser les images, éventuellement de sentir les mousses (attention à ne pas choir dans le cours d’eau !).

Ainsi actualisées et analysées, toutes ces données nous permettrons de mieux connaître l’ADN de ces mousses.

A suivre donc.